Christensen et Lassen publient en 1991 une étude sur la variation de la durée du cycle de Schwabe (lié au nombre de taches solaires, taches qui traduisent l’activité du soleil).
Voici leur raisonnement : plus ce cycle est court et plus les périodes d’activité intense sont proches, donc plus l’énergie solaire moyenne reçue sur Terre est grande et plus la température moyenne devrait être élevée.
Ils constatent qu’il y a une bonne corrélation entre l’évolution de la durée du cycle de Schwabe et celle de la température moyenne.