Les scientifiques qui ont étudié la question (Petit & al., Caillon & al., Spahni & al.) ont tous mis en évidence la chose suivante :
Par le passé, les périodes interglaciaires (réchauffement) sont amorcées par des causes astronomiques. Mais, l’augmentation du CO2 joue un rôle d’amplificateur et le pic de sa concentration précède le pic du CH4 qui est un indicateur des températures moyennes dans l’hémisphère nord.
Conclusion : Contrairement à ce qui est dit par le NIPCC, le CO2 joue un rôle important dans le réchauffement de l’hémisphère nord.